30 Juillet 2020
Salut, salut les oursons ! đ»
Comment allez-vous aujourd’hui ? Le mois de juillet touche doucement à sa fin. J’ai l’impression qu’il est passé à toute allure, pas vous ? Et pourtant, je n’ai pas l’impression d’avoir fait grand-chose…
Enfin, je m’étalerai plus longuement sur le sujet dans le bilan de demain.
Sur ce, place à la chronique ! đ
Titre : Sothik Auteur : Marie Desplechin et Sothik Hok Éditions : École des Loisirs |
Prix : 13€ Pages : 96 p. Note : 1,5/5 |
Résumé : « Sothik est né en 1967 dans un Cambodge en pleine tourmente. Il a trois ans, quand la guerre civile fait rage, huit ans quand les Khmers rouges prennent le pouvoir. Du jour au lendemain, tout change. L’argent est aboli, les livres sont détruits, la religion interdite, la propriété privée n’existe plus. Sothik et sa famille doivent quitter leur maison en laissant tout derrière eux et prouver sans cesse leur obéissance au nouveau régime. Mais cela ne suffit pas ! Les Khmers rouges décident brutalement d’enlever les enfants à leurs parents afin de mieux les éduquer. Sothik rejoint un groupe d’enfants de son âge. La famille n’existe plus, la terreur et la famine s’installent... »
Ce titre je l’ai acquis dans le cadre d’un abonnement à la collection Supermax de l’École des Loisirs. D’ailleurs, ce n’était pas LE titre qui m’intéressait le plus dans la sélection que j’avais reçu. Raison pour laquelle j’ai mis une plombe à la sortir de ma PAL. Je pense que sans mon challenge juin-jeunesse, je ne l’aurais jamais lu.
Niveau lecture en tant que telle…disons que je l’ai lu. C’est déjà quelque chose en soi. Oui, mais non, c’était déjà un grand pas en ce qui me concerne !
Quelques semaines après sa lecture, je n’en conserve pas un souvenir de dingue. Tout d’abord, la première de couverture ne m’attirait et ne m’attire toujours pas. Je ne sais pas comment l’expliquer, mais je ne l’aime pas du tout. Et même le sujet clef du roman ne m’attirait pas davantage. Bref, on pourrait résumer cette lecture à : « Vini, vidi, vicci. »
Alors, pour reprendre une certaine logique de construction au niveau de cette chronique : est-ce que j’ai apprécié cette lecture ? Pas vraiment.
Certes, ce livre se lit bien et la chronologie de l’histoire se suit, il est bien écrit, c’est Marie Desplechin quand même. Il y a des sujets très forts qui sont abordés. Mais, globalement, je me suis très peu appliquée dans cette lecture qui ne m’a pas touchée. Je suis restée de marbre face au récit, pire qu’une conserve mise sous pression par 8000 mètres de fonds.
En toute honnêteté, le sujet est en lui-même très intéressant et « original ». La prise du pouvoir par les Khmers rouges au Cambodge n’est que très rarement abordé dans la littérature, jeunesse de surcroît. Mais j’avoue que c’est un épisode historique pour lequel je n’éprouve pas un très grand intérêt.
Même si l’autrice a retranscrit l’histoire de Sothik, je trouve que le détachement de ce dernier à raconter son histoire est très désagréable. On n’est pas immergé dans son témoignage, et c’est sans doute cela qui est la cause de ma passivité dans cette lecture.
Voilà, voilà, voilà ! Pour une fois que ma chronique est super courte…c’est pas tous les jours que cela arrive ! đ
Sur ce, je vous dis à tout bientôt (le mois prochain hihihi….vous avez compris ? Parce que l’on est fin juillet et que c’est la dernière chronique du mois, du coup pour la prochaine on sera au mois d’août…. OUI, je suis lourdingue, je sais !) pour d’autres chroniques (plus étayées) de lectures qui m’ont davantage marqué. Bisous ! â€
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